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  • : Mirella Lysdesaron
  • Mirella Lysdesaron
  • : L'Eternel est mon Père ! Aimer c'est vivre et vivre c'est Aimer.
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  • Je m'appelle Mirella. Maman, missionnaire, poétesse, accompagnatrice d'enfants en situation d'handicap, je suis aussi conseillère santé et bien être.
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ORPHELINAT LYSDESARON





L'Eternel rend justice aux orphelins
Ne les oublions 
pas !







                                                                                                                                         

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Cantique de David. L'Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom. Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde. Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel Jusqu'à la fin de mes jours




26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 00:00

Etude : Shoa. Le sens d’un mot

par Michel Remaud ("un Echo d'Israël")


Le terme hébreu de shoa est aujourd’hui d’un usage commun pour désigner

le génocide nazi. Ce mot est préférable à celui d’holocauste, dont l’emploi

pour désigner le génocide est particulièrement inconvenant : l’holocauste est en effet

un sacrifice rituel, c’est-à-dire un acte liturgique ; appellation très déplacée pour

évoquer l’horreur de la « solution finale ».

Le terme de shoa n’a pas été créé spécialement pour désigner le génocide.

Il vient de la Bible, où il apparaît treize fois. Beaucoup, sans doute, ne soupçonnent

pas la présence de ce mot dans la lecture des traductions courantes ou dans la récitation

 des psaumes. Puisque ces références ne sont pas très nombreuses, il peut être utile

 d’en donner la liste : Isaïe 10,3 ; 47,11 ; Ézéchiel 38,9 ; Sophonie 1,15 ;

Psaumes 35,8 (2 fois) ; 35,17 ; 63,10 ; Proverbes 1,27 ; 3,25 ; Job 30,3.14 ; 38,27.

Le dictionnaire hébreu d’Even-Shoshan donne pour ce mot des définitions correspondant

 au français ruine, destruction, anéantissement. Les traductions françaises expriment

 la même idée, bien qu’avec beaucoup plus de nuances selon les contextes… et selon les traducteurs.

Osty traduit régulièrement shoa par « tourmente », sauf dans trois cas sur lesquels

nous allons revenir, mais les traductions collectives utilisent un vocabulaire plus varié : « désastre » ou « tempête » pour la Traduction Œcuménique de la Bible, « calamité », « malheur », « désolation », « ruine », « orage » « tempête », « attaque », « ravages »

pour la Bible de Jérusalem. La Bible du rabbinat traduit par « catastrophe », « ruine », « désolation », « tempête », « ouragan », « désastre », « malheur ». Le lecteur curieux

pourra compléter l’exercice en comparant avec d’autres versions. Dans les traductions

 de certains passages, le mot lui-même disparaît dans une périphrase.

C’est le cas pour Ps 63,10, dont une traduction littérale donnerait : « ceux qui cherchent

ma vie pour la shoa », et que la T.O.B. traduit par « ceux qui en veulent à ma vie ».

Osty serre de plus près le texte en traduisant par « ceux qui en veulent à ma vie,

pour la perdre ».

Dans trois cas (So 1,15 ; Job 30,3 ; 38,27), le mot est suivi de son synonyme meshoa,

d’un usage rare, dans l’expression shoa u-meshoa, rendue dans la traduction d’Osty

 par « dévastation et désolation ». Dans le passage de Sophonie, ces termes sont associés

au « Jour du Seigneur ».

Le mot hébreu de shoa désigne donc généralement l’événement lui-même, sans en donner

aucune interprétation. Certains passages soulignent le caractère brutal et inopiné

avec lequel survient le désastre, par exemple en Ps 35,8, qui parle d’« une tourmente

 qu’ils ne prévoyaient pas » (Osty), ou encore Is 47,11, où la T.O.B. a malheureusement

omis de traduire le « soudain » qui figure dans l’hébreu.

Question annexe : comment l’écrire ?

Après avoir utilisé plusieurs transcriptions, j’ai été convaincu par le bref article

de Yohanan Elihai « Du bon usage du h final », dans la Revue biblique,

2008, pp. 613-615.

L’auteur y explique pourquoi la mode du h final s’est répandue

depuis quelques années, sous l’influence des transcriptions américaines,

et montre qu’il n’y a pas plus de raisons de mettre un h à la fin de shoa

que d’écrire Sarah, Léah, Mishnah ou Haïfah.

 

 1522_c.jpg

 

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Published by Lys de Saron - dans QUE JE T'AIME ISRAËL
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Commentaires

C
<br /> MERCI, j'ai appris quelque-chose. Bon shabbat. Bisous.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> <br /> je t'embrasse ma chère soeur bien aimée ,<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> jtm<br /> <br /> <br /> <br />

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L'Eternel est mon Berger: je ne manquerai de rien.

Il me fait reposer dans de verts pâturages,

Il me dirige près des eaux paisibles.

Il retaure mon âme


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