YOSSEF HATZADDIK AIMAIT ERETZ ISRAËL
Les filles de Tsélofrad- fils de H’éfer, fils de Gilad, fils de Mah’ir, fils de Ménaché, des
familles de Ménaché, fils de Yossef, s’approchèrent…Voici les noms de ses filles : Mah’la, Noa, H’ogla, Milca et Tirtsa. (Bamidbar 27,1) DES FAMILLES DE MENACHE, FILS DE YOSSEF : Pourquoi cela
est-il mentionné, alors qu’il est déjà écrit « fils de Ménaché » ? Pour nous apprendre que Yossef aimait le pays, comme il est écrit : « Montez mes ossements » (Béréchit 50, 25) et que ses
‘filles’ aimaient aussi le pays, comme il est écrit : « Donne nous notre bien » (Bamidbar 27, 4). (Rachi)
HACHEM EXERCE SA BONTE SPECIALEMENT SUR CEUX
QUI RESIDENT EN ERETZ ISRAËL
Rabbi Nathan explique sur le verset : « Et qui exerce la bienveillance jusqu’à la millième génération, pour ceux qui m’aiment et gardent mes commandements » (Chémoth 20,6) : « Ceci fait référence à ceux qui résident en Eretz Israël et se consacrent aux Mitsvoth. » (Yalkout Chimoni, Yithro 292)
ENTERRE SOUS LE MIZBEAH’
Celui qui est enterré en Eretz Israël est comme enterré sous le Mizbéah’ Masséh’et Kétouboth 111
UN DES PLUS BEAUX CADEAUX QU’HACHEM NOUS AIT OFFERT
Rabbi Chimon Bar Yoh’aï dit : « Le Saint béni soit-Il, offrit au peuple d’Israël trois beaux cadeaux – et tous sont acquis qu’au biais de souffrances. Il s’agit : de la Torah, d’Eretz Israël, et du monde futur ». (Talmud Bérah’oth 5)
HACHEM PLEURE LES TEMPLES ET NOTRE EXIL
Le Talmud cite : « Et mon œil pleurera douloureusement et en coulera des larmes» (Yermiyah 13,17). Pourquoi trois larmes ? Une pour le Premier Temple, une pour le Second Temple, et une pour les Juifs qui ont été exilés de leur endroit» (H’aggiga 5b)
CEUX QUI ETUDIENT LA TORAH PROTEGENT LES SOLDATS ET LES SOLDATS PROTEGENT CEUX QUI ETUDIENT LA TORAH
Sans David qui s’asseyait et étudiait la Torah, Yoav ben Tsérouyah, n’aurait pas été victorieux en guerre. Et sans Yoav, qui menait les combats, David n’aurait pas pu s’asseoir et se consacrer à la Torah. (Sanhédrin 49a)
NE DITES JAMAIS RIEN DE MAL CONTRE ERETZ ISRAËL OU SES HABITANTS
« Rav Ami et Rav Assi étaient habitués à (ce que leurs élèves doivent) se lever (et bouger) d’un endroit ensoleillé à un lieu ombragé, et d’une place ombragée à un endroit ensoleillé. » (Kétouboth 112) Le Ben Ich H’aï explique cette Guémara de la manière suivante : « Afin qu’aucun élève ne soit tenté de dire à propos de l’endroit où ils se trouvaient : ’ce n’est pas bien’, et ainsi faire de la médisance sur un morceau de terre d’Eretz Israël. De cela chaque homme doit apprendre une leçon : de protéger sa bouche et sa langue contre tous propos négatifs, qui incrimineraient même une parcelle d’Eretz Israël, que ce soit son air, ses conditions météorologiques, ses fruits, ou ses constructions ; même en des temps où le Pays est en désolation et dans les mains des gentils, et que les habitations appartiennent à des non Juifs. »