Décharge-toi de ton fardeau sur l'Eternel,
et Il te soulagera ;
Il ne permettra jamais que le juste soit ébranlé.
Psaume 55,23.
Ce fardeau est lourd : laisse-le au Tout Puissant. Tant que tu le portes, il t'écrase ; mais pour son bras, il ne pèse rien. Si cependant Dieu t'appelle à le porter encore, il te soutiendra.
Le fardeau sera sur toi, mais ne t'accablera pas. Tu seras si bien soutenu que ce sera une bénédiction. Appelle le Seigneur à ton secours, et tu pourras te tenir debout sous le poids qui, sans lui, le courberait en deux. Notre plus grande crainte est que notre épreuve ne nous éloigne du sentier du devoir ; mais le Seigneur ne permettra pas cela. Si nous sommes sincères devant lui, il ne souffrira pas que notre affliction nous écarte de la droite conduite. En Jésus il nous reçoit comme justes, et en Jésus il nous garde aussi. Et pour le moment présent ? Penses-tu aller seul au-devant des épreuves de ce jour ? Veux-tu que tes pauvres épaules soient encore écorchées par la charge qui t'écrase ? Abandonne cette folie. Dis toute ta peine au Seigneur et remets-la lui. Ne jette pas ton fardeau à terre pour le reprendre aussitôt ; mais décharge-t-en sur l'Eternel et le lui laisse une fois pour toutes. Alors tu marcheras à l'aise comme un joyeux croyant, déchargé désormais de souci et chantant les louanges du grand Libérateur. Ch. Spurgeon
T'a trop courru, et t'en peux plus, T'a pas compris que y'avait que lui, Mais du fond du trou, accablé de chagrin Alors tu t'es jeté dans ses bras,
Portant ton sac trop lourd.
Seul tu t'es battu,
De Dieu t'en a pas voulu ...
T'a pas saisi que c'est le meilleur ami,
T'a fais comme Jonas,
Et le poisson t'a vomi ...
T'a osé crié ta détresse un matin,
Jésus t'attendait, la main tendue ...
T'a enfin reconnu que sans lui t'es perdu.
T'a fait que pleurer ce jour-là,
La porte de ton coeur s'est ouverte,
A l'invitation de Jésus le Maître.