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  • : Mirella Lysdesaron
  • Mirella Lysdesaron
  • : L'Eternel est mon Père ! Aimer c'est vivre et vivre c'est Aimer.
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  • Je m'appelle Mirella. Maman, missionnaire, poétesse, accompagnatrice d'enfants en situation d'handicap, je suis aussi conseillère santé et bien être.
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ORPHELINAT LYSDESARON





L'Eternel rend justice aux orphelins
Ne les oublions 
pas !







                                                                                                                                         

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Shalom !


Cantique de David. L'Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom. Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde. Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel Jusqu'à la fin de mes jours




21 avril 2009 2 21 /04 /avril /2009 00:00

JUSTE A LA FIN DE CET ARTICLE,
UN MESSAGE TRES IMPORTANT RECU CE MATIN.


La Bible
nous parle de cet homme Abraham qui reçut chez lui, trois anges.

Ils lui dirent :

Où est Sara, ta femme ?

Il répondit :

Elle est là, dans la tente.

L’un d’entre eux dit :

Je reviendrai vers toi à cette même époque ;

Et voici, Sara, ta femme, aura un fils.

Sara écoutait à l’entrée de la tente, qui était derrière lui.

Abraham et Sara étaient vieux, avancés en âge :

Et Sara ne pouvait plus espérer avoir des enfants.

Elle rit en elle-même, en disant :

Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ?

Mon seigneur aussi est vieux.

L’Eternel dit à Abraham :

Pourquoi donc Sara a-t-elle ri, en disant :

Est-ce que vraiment j’aurais un enfant, moi qui suis vieille ?

Y a-t-il rien qui soit étonnant de la part de L’Eternel ?

Au temps fixé Je reviendrai vers toi, à cette même époque ;

Et Sara aura un fils.

Sara mentit, en disant :

Je n’ai pas ri.

Car elle eut peur.

Mais Il dit : Au contraire, tu as ri.

 

Genèse 18 / 9  à 15


Crois ! Believe ! Creda !

 

 


 

Sommes-nous parfois comme Sara, où l’incrédulité nous pousse à rire ?

 

Cette femme avait reçu des anges, les voyant avec ses yeux physiques, et pourtant son manque de foi avait pris le dessus.

 

Mais D.ieu honora Sa Parole, comme Il le fait toujours.

 

Il accomplit pour Sara, ce qu’Il avait promis, car elle devint enceinte et enfanta un fils à Abraham, dans sa vieillesse, au temps fixé dont D .ieu lui avait parlé.

Abraham donna le nom d’Isaac au fils qui lui était né, et dont la mère était Sara.

 

Rien est étonnant de la part de D.ieu.

 

 

Ce qu’Il dit, Sa main l’accomplit.

 

Si D.ieu t’a fait une promesse, attends dans le calme et la confiance,

Car elle s’accomplira.

 

Que L’Eternel nous fasse la grâce d’être des hommes et des femmes remplis de foi, qui tournent le dos au doute et s’emparent des promesses avec hardiesse et joie.

 

Shalom

 

©Lysdesaron

(Mon ange Sarah)

voir l'image en taille réelle


 

Je viens de recevoir  ce matin, de la part de Sylviane Cuartero mon amie, un article sur

Yom Hashoah, journée souvenir de la Shoah.

 

Message très important à méditer …

 

Bonne lecture et n’oublions pas Israël, notre sœur et amie chère à nos cœurs.

 

 

Shalom.

 


Lève les mains vers D-ieu

Pour la vie des enfants d’Israël

Lamentations 2 – 19

 

 

Chers amis d’Israël,

 

            Nous arrivons à ces deux dates peu populaires, puisqu’elles sont là pour nous rappeler des évènements dramatiques, que la plupart des gens aimerait oublier.

 

            Il est vrai que les journées et les cérémonies du « souvenir » sont éprouvantes et qu’on préférerait penser à « autre chose ». Et pourtant, ce refrain entêtant :

 

                                               « N’oublie pas, Souviens-toi… »

                                                                                  Deutéronome 25 – 17

 

 

Yom Hashoah, journée souvenir de la Shoah

Mardi 21 avril 2009

 

Journée nationale de la déportation

Dimanche 26 avril 2009

 

 

France, n’oublie pas !

 

 

            France, réveille-toi ! Peut-être que des noms comme Drancy, Beaune-la-Rolande, Pithiviers, Compiègne, Struthof, Rivesaltes, Vichy et bien d’autres… te rafraîchiront la mémoire !

 

 

                        « Délivre ceux qu’on traîne à la mort… Si tu dis :

                        Ah, nous ne savions pas ! Celui qui pèse les cœurs

                        ne le voit-Il pas ?... »

                                                                                  Proverbes 24 – 11 et 12

 SOUVIENS-TOIi de ce que t’a fait Amalek sur le chemin

lorsque vous sortiez d’Egypte. Il t’a surpris sur le

chemin et a attaqué par derrière tous les faibles alors

que tu étais fatigué et épuisé, et  lui ne craignait point

D-ieu. Et il adviendra lorsque l’E-ternel ton D-ieu t’aura

reposé de tous tes ennemis alentours sur la terre que

l’E-ternel te donne en héritage, et tu effaceras le nom

D’Amalek.

N’OUBLIE PAS (Deutéronome XXV, 17 à 19

 

 

 

YOM  HASHOAH

 

 

 

La cérémonie de Yom Ha shoah a été fixée

Pour l’ensemble du Peuple Juif, par le parlement

Israélien, la Knesset, au 

 

27  NISSAN:

 

 

Ce jour là, un kaddish s’élève à l’unisson de

Toutes les synagogues du monde pour ceux

Qui sont partis sans prière.

 

 

 

            En cette année civile 2009, le 27 Nissan correspond au 21 avril. Ce jour souvenir de la shoah, jour souvenir de tant et tant de douleurs pour le Peuple Juif est une date indélébile qui est gravée en moi tellement profondément qu’il m’est impossible de ne pas partager avec vous ces quelques pensées.

 

            Nous avons fait la connaissance mon mari et moi en 1996 d’un couple Juif âgé, et nous sommes devenus amis. Bernard et Louisette se sont petit à petit confiés à nous, et ils nous faisaient comprendre à demi-mots ce qu’ils avaient subi. Lorsque nous avons pris conscience de l’ampleur du fardeau de tant et tant de malheurs à porter pour un seul Peuple, pour une seule famille, pour une seule personne, nous en avons été profondément bouleversés.

 

 Le désir de mon cœur est que beaucoup d’amis entourent les familles juives lors des cérémonies du souvenir, journées si éprouvantes, que ces amis par leur présence ou par d’autres marques d’affection puissent porter avec les familles et les communautés Juives le poids énorme du souvenir et de la mémoire.

 

            Nous nous trouvions à Jérusalem en 1996, bercés par une belle journée ensoleillée  comme c’est généralement le cas en Israël. Nous descendions tout doucement le Mont des Oliviers. Ce jour-là était très spécial, c’était Yom HASHOAH, le jour souvenir de la shoah. On nous avait prévenu qu’à un moment de la matinée les sirènes se mettraient à hurler et ensuite une minute de silence serait observée dans tout Israël.

 

            Nous attendions avec émotion ce moment et demeurions déjà silencieux pendant notre descente. C’est comme si quelque chose d’irréel planait sur cette matinée. De notre point de vue, nous apercevions la circulation dans Jérusalem et les voitures portaient sur leur toit le fanion représentant le drapeau d’Israël.

 

            C’est lorsque nous sommes arrivés au niveau du grand cimetière qui se trouve à flanc du Mont des Oliviers, que les sirènes se sont mises à hurler. C’était très impressionnant et nous sommes restés comme paralysés sur place. A cet instant précis, tous les véhicules se sont arrêtés, et leurs occupants sont sortis des voitures. Les piétons restaient figés sur place, plus rien ne bougeait. Tout s’arrêtait comme un cœur qui cessait de battre. Le brouhaha s’estompait, puis ce fut le SILENCE.

 

            SILENCE complet qui recouvrait Jérusalem… Israël… Ce serait impossible de vous décrire avec des mots l’intensité de cette minute de silence. Nos regards sont restés figés sur la ville de Jérusalem. Nous étions écrasés pour une émotion qui déchirait nos cœurs et nos entrailles, et des larmes abondantes et silencieuses se sont mises à couler sur nos visages.

 

 Ce moment semblait suspendu dans l’éternité et il semblait ne jamais devoir finir. Ce qui se passait n’était pas seulement humain, mais c’était comme si le Ciel s’était joint à cet instant, que tous les êtres célestes s’étaient tus, et que le cœur de l’Eternel se brisait et se déchirait en une souffrance et une agonie incommensurable.

 

            En mars 2000, lors de notre visite au camp d’Auschwitz, nous avons réalisé que comme tout un chacun, nous parlions trop, que nous croyons pouvoir comprendre la souffrance, mais qu’à force de paroles maladroites, nous blessons les âmes meurtries encore et encore.

 

Parfois, il faut savoir se taire, en particulier devant des souffrances qui dépassent l’entendement.. Ce que je vais dire peut être choquant mais j’ai des sanglots étouffés, quand j’entends les souffrances d’un peuple qui demeure souvent incompris et rejeté. Les milieux chrétiens qui devraient être compatissants font souvent preuve d’une dureté de cœur et de langage envers le Peuple Juif, qui m’attriste profondément.

 

 J’ai l’impression que les chrétiens mettent un baillon sur la bouche du Peuple Juif, afin qu’il ne puisse pas exprimer ce qu’il ressent, ce qui lui reste de souffrance dans le tréfond des entrailles. Un baillon qui l’empêche de vivre, de ressentir, d’exprimer ses sentiments… Les chrétiens semblent avoir les oreilles à demi-bouchées pour n’écouter que ce qui leur convient. Ils se sont fait une idée évangélique de la souffrance d’Israël, en la justifiant Bible en main, et ne peuvent pas ouvrir tout grand leur cœur  pour écouter les victimes  avec leurs mots, leur cœur, leur détresse…

 

Il y a quelques années, j’ai assisté dans la ville de V… dans le cadre d’une rencontre chrétienne au témoignage d’un survivant du camp d’Auschwitz, Jo qui est aussi un ami très cher. Il avait perdu 96 membres de sa famille qui avaient été exterminés. A la fin de la journée, j’étais chargée de le reconduire à la gare avec un frère. Je sentais que ce dernier bouillait du désir «d’évangéliser » et un immense malaise m’envahit. Le frère, alors n’y tenant plus dit à Jo : « Vous êtes athée, mais vous savez D-ieu vous aime et il faut savoir pardonner. »  J’étais effondrée et ne savait que faire. Mais Jo a eu cette rétorque : « Comment çà je suis athée, je crois en D-ieu, je suis né dans une famille pratiquante et mon père était Rabbin. Mais lorsque je serai en face de D-ieu j’aurai des explications à lui demander, et cela ne te regarde pas, c’est entre Lui et moi ! » Du coup, le frère, penaud n’a plus rien dit…

 

Pour ce qui est de pardonner, que diriez-vous, vous chrétiens, si on vous demandait de pardonner au satan. 

 

 Lorsque l’on se trouve à Auschwitz, il vaut mieux se taire. Que savons-nous de la souffrance du Peuple Juif, respectons-la et faisons silence.

 

 

 

Extraits du compte-rendu du voyage à Auschwitz :

 

            Ici, c’est terrible, il y a ce que l’on voit et ce que l’on entend, et pire encore, ce que l’on devine. Toute notre éducation, nos raisonnements, notre théologie, nos questions, notre logique, restent à l’entrée du camp. Ici, nous sommes de plein fouet face à un gouffre d’horreur sans fond, dévorés par une rage impuissante, déchirés par des hurlements silencieux qui nous étouffent. Ici, plus de présent, plus de passé, il ne reste plus rien…

 

            Il y a ces multitudes de voies ferrées qui s’entrecroisent… Il y a des milliers de personnes sortant des trains, affamées, mourant de soif, hurlant de terreur, ne comprenant plus rien… Il y a ces chiens hargneux déchirant leur chair et déversant la haine à leur passage… Il y a la fumée des trains et le froid insoutenable, un froid immonde qui glace l’âme et le corps… Il y a… Il y a…

 

            Les Juifs furent abandonnés au moment de leur plus grande détresse. Nous voyons au-delà du visible des foules de gens courir nus, méprisés, grelottants, victimes d’une haine surpassant tout entendement. Nous avons l’impression qu’ils sont toujours là, autour de nous. Leurs cris sont toujours là, leur souvenir est bien vivant, surtout ne jamais les oublier… jamais !

 

            Aucun mot ne sera jamais assez fort pour exprimer les souffrances du Peuple Juif. Les tortures physiques, les humiliations, mais aussi les tortures mentales, ne laissaient jamais une seconde de répit. Le cauchemar est quotidien et continuel. Les tourments de l’esprit sont incessants. La perversité jusqu’au plus petit détail est là pour faire souffrir au-delà du supportable.

 

            Certains passages des psaumes nous font entendre le martyr de toutes ces victimes :

 

            Mon âme est rassasiée de maux et ma vie s’approche du séjour des morts. Je suis mis au rang de ceux qui descendent dans la fosse. Je suis étendu parmi les morts, jeté dans les ténèbres, dans les abîmes. Je suis enfermé et je ne puis sortir. Mes yeux se consument dans la souffrance. J’enfonce dans la boue sans pouvoir me tenir. Je suis tombé dans un gouffre, je m’épuise à crier. Mon gosier se dessèche. Ils sont plus nombreux que les cheveux de ma tête ceux qui me haïssent sans cause. L’opprobre me brise le cœur et je suis malade. J’attends de la pitié, mais en vain, des consolateurs et je n’en trouve aucun. Mes jours s’évanouissent en fumée et mes os se sont enflammés comme un tison. Mes gémissements sont tels que mes os s’attachent à ma chair. Je ne suis pas tranquille, je n’ai pas un lieu de repos. Mon cœur est agité, mes yeux languissants, mon âme souffrante. Ma vie est comme en suspens devant moi. Je tremble la nuit et le jour, je doute de mon existence. Dans l’effroi qui remplit mon cœur, je dis le matin : puisse le soir être là, et je dis le soir : puisse le matin être là !

 

            Nous entrons dans le bâtiment des objets personnels ayant appartenus aux victimes :

 

            Des monticules de chaussures…

            Des monticules de lunettes…

            Des monticules de valises, et…

            Des monticules de cheveux !

 

            Il y a des milliers, des millions de vies au travers de ces montagnes de cheveux, des milliers de visages, de rires, de joies, de peines, de souffrances, des vies qui n’auraient jamais dû s’arrêter là, aussi cruellement, aussi injustement. Je vous en supplie, ne les oubliez pas, ce serait les assassiner une seconde fois !

 

            Nous terminons par un bâtiment avec des photos. On n’ose à peine les regarder, parce que les regards des victimes sont si vivants qu’ils semblent nous interroger. Ce sont des millions de visages qui nous observent aujourd’hui avec des yeux figés par l’horreur, avec des regards désespérés qui ne comprennent plus rien, qui crient à l’humanité entière : Pourquoi nous avez-vous abandonnés ?

 

            Ezéchiel 37 - 1 :

                        L’Eternel me transporta par son Esprit, et me déposa dans

            Le milieu d’une vallée remplie d’ossements. Il me fit passer auprès

            D’eux, tout autour, et voici, ils étaient fort nombreux à la surface de l           vallée et ils étaient  complètement secs.

                        Il me dit : Fils de l’homme, ces os pourront-ils revivre. Je

            Répondis : Seigneur, Eternel, Tu le sais.

 

 

            Il me devient de plus en plus intolérable que les six millions de Juifs assassinés restent seulement un chiffre dans l’Histoire, et j’ai l’impression que l’Eternel ne le supporte pas non plus, car ce sont Ses enfants, prunelle de Ses yeux, chéris de Son cœur. Ils ont un visage, un nom, une famille, une histoire, chacun en particulier. Ils sont précieux et ne sont pas anonymes, et leurs familles souffrent atrocement.

 

            Le 27 Nissan, jour souvenir de la Shoah, est une occasion de montrer votre amour et votre soutien au Peuple Juif, de l’envelopper d’un manteau de tendresse. Cette journée est très éprouvante pour les familles et les communautés Juives, et elles ont besoin de réconfort et de vrais amis, de cœurs qui pleurent en harmonie avec leurs larmes, qui portent avec elles l’insupportable.

 

            Alors n’hésitez plus, lors des journées du souvenir, vous pouvez vous tenir aux côtés du Peuple Juif en assistant aux commémorations à la synagogue, en accompagnant le dépôt de gerbe au cimetière Juif de votre localité ou en envoyant un petit mot plein de tendresse et de chaleur aux communautés Juives. Renseignez-vous, il y a tellement de choses à faire pour qui sait aimer… Ne craignez pas vos élans de cœur envers le Peuple Juif…

 

                                                           Pour l’Amour de Sion, je ne peux me taire

                                                           Avec toute mon affection

 

                                                           Sylviane CUARTERO

                                                           Ambrières, le 14 avril 2009  

 

 

 

 

Emmanuel LEVINAS

Cette destruction  rend impossible

Et odieux tout propos et toute pensée

Qui l’expliqueraient par les péchés

De ceux qui ont souffert ou sont morts.

 

SHOAH :

Est un terme hébraïque qui signifie

Une catastrophe absolue.

Il remplace le terme « holocauste » ;

Infâmant, qui signifierait que le Peuple

Juif aurait été une victime expiatoire.


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Published by Lys de Saron - dans PENSEES JOURNALIERES
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L'Eternel est mon Berger: je ne manquerai de rien.

Il me fait reposer dans de verts pâturages,

Il me dirige près des eaux paisibles.

Il retaure mon âme


PSAUMES 23:1-3



 


 

 


 


Toi qui es dans la détresse

Ton coeur est brisé
Ecris-moi
Je te répondrai avec l'aide de D.ieu 



 


 


 

 

 

 

 

 

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