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  • : Mirella Lysdesaron
  • Mirella Lysdesaron
  • : L'Eternel est mon Père ! Aimer c'est vivre et vivre c'est Aimer.
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  • Je m'appelle Mirella. Maman, missionnaire, poétesse, accompagnatrice d'enfants en situation d'handicap, je suis aussi conseillère santé et bien être.
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ORPHELINAT LYSDESARON





L'Eternel rend justice aux orphelins
Ne les oublions 
pas !







                                                                                                                                         

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Shalom !


Cantique de David. L'Éternel est mon berger: je ne manquerai de rien. Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom. Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde. Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel Jusqu'à la fin de mes jours




14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 00:00
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Tu le raconteras à ton fils et à ton petit fils…
Qui n’a pas été intrigué, depuis son enfance, par ce rite étrange et fascinant ?
Des ingrédients spéciaux, un plateau qu’on couvre et qu’on découvre, qu’on retire de la table
 puis qu’on ramène ?
Un morceau de matsa caché puis dévoilé et consommé en fin de repas…
Beaucoup d’interrogations…
L’éducation dans la Torah commence par le questionnement :
mah zé ? Qu’est-ce que c’est ?
Et les Sages nous disent que les lettres du mot , Adam, l’homme, ont la même valeur
numérique ( 45), que le mot Mah, quoi ?.
Clin d’oeil pour nous dire que l’homme est avant tout une question.
Question très difficile, tellement difficile que de nombreuses lunes sont déjà passées,
et qu’il y en a encore qui y réfléchissent… 
Mais l’homme-question se construit lui-même par les interrogations qu’il ose se poser
sur le monde environnant, et sur lui-même, son monde intérieur, si riche et pourtant
si méconnu.
La Torah agit comme miroir du questionnement, tout en donnant un semblant de réponse,
 qui renvoie et réfléchit une autre question, et encore une autre, à l’infini.
A l’image d’un rayon lumineux qui irait frapper un prisme, et qui se réfléchirait, à l’infini.
Il n’existerait alors qu’une seule question, un peu comme la lumière qui contient bien
des nuances colorées, les fameuses 7 couleurs de l’arc en ciel.
Une seule question, mais des centaines de nuances…
En manière d’éducation, il n’existe pas hélas de recette miracle.
La Torah nous dit simplement d’éduquer l’enfant selon sa voie.
La sienne, pas la nôtre. Pas ce que nous imaginons être le meilleur pour lui.
Je connais des personnes qui se sont pleinement épanouies dans le domaine de la
Torah. La Yéchiva les a aidé à structurer leurs pensées, leur appris à partager aussi.
Elle leur a permis, pour ceux qui l’ont quitté ensuite, d’affronter la vie en mettant le maximum
de chance de leur côté.
Par contre, d’autres personnes ont eu moins de chance.
Elles n’ont pas supporté le rythme effréné, la force de l’étude quotidienne. Elles auraient pu
 s’en sortir, si elles avaient eu un enseignement plus adapté, plus sensible à leurs vrais
besoins.
Car la Torah est le remède de l’âme, mais comme tout remède, il faut faire attention
aux quantités. Il y en a qui supportent avec joie, mishnayoth sur mishnayoth, daf sur daf
de guémara !
Mais il y en a d’autres qui n’ont pas la même sim’ha et les mêmes capacités dans l’étude.
Le danger est donc que ces néchamoth finissent par tout rejeter.
Comme le dit Shlomo hamélech :
« si tu as trouvé du miel, consomme-en modérément, de peur que ton coeur ne finisse
par le rejeter. »
Car quel drame si d’un côté, on assiste à une jeunesse en perdition, à la recherche de repères
 que la société ambiante est bien incapable de leur transmettre, et si de l’autre, des âmes
plus fragiles prennent le prétexte de la Yéchiva pour tout rejeter par la suite !
Dans les deux cas, quel héritage leurs enfants de la génération suivante recevront-ils ?
Il est donc clair qu’il est impossible de brader totalement un enfant, et en même temps
 impossible de le laisser gâcher sa vie dans un laxisme absolu.
Dans cette génération proche de la venue du Mashia’h, tous les Sages de la génération
étant formels, il devient urgent de sensibiliser les parents sur l’importance des valeurs
de la Torah, seule garante de la survie d’Israël en golah.
La Torah, oui ! Mais pas dans l’angoisse !
la Torah, oui ! Mais pas dans la peur !
Réussir à transmettre à ses enfants l’enthousiasme et la sim’ha de la Torah, c’est avoir
remporté la moitié de la victoire !
Aux parents qui n’ont pas eu la chance de recevoir une transmission, je leur dit :
il n’est pas trop tard !
Chaque juif, chaque juive, a une part dans la Torah.
Et même si le dialogue parent -enfant a été jonché d’incompréhensions, et de rancune,
il n’est jamais trop tard, pour une fois de plus, recommencer. Commencer une nouvelle fois.
Autour d’une question. Et petit à petit, parvenir à injecter la émounah, et le retour à la Torah.
Sachez qu’aucun effort n’est vraiment vain.
De toutes nos tentatives, il reste toujours quelque chose.
Un petit point lumineux qui brille, et qu’il ne tient qu’à nous de raviver.
A ceux qui sont loin de la Torah, je leur dis : rappelez vous de votre Créateur !
Et à ceux qui sont penchés sur leur guémara, du matin au soir, je leur dit :
n’oubliez pas vos frères et soeurs dans les ténèbres, qui n’ont pas eu cette chance de se
connecter à l’héritage si riche du Sinaï ! Que Hachem vous bénisse !
                                                              (désert de Judée)
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Published by Lys de Saron - dans QUE JE T'AIME ISRAËL
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Commentaires

<br /> Un petit coucou------<br /> Shabbat Shalom !!<br /> <br /> <br />
Répondre
L
<br /> <br /> bonjour ma rosie, je réponds seulement maintenant , j'était en mission au village , je pense à toi , bonne journée<br /> <br /> <br /> <br />

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L'Eternel est mon Berger: je ne manquerai de rien.

Il me fait reposer dans de verts pâturages,

Il me dirige près des eaux paisibles.

Il retaure mon âme


PSAUMES 23:1-3



 


 

 


 


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